Théorie de la Création Intelligente
Méthodes de recherche du systčme essenceisme qui a façonné théorie de la création intelligente
Puisque la science constate l’absence de méthodes de recherche pour répondre aux questions concernant l’existence du Créateur de l’univers, il était nécessaire de trouver un moyen de sortir de cette situation. En effet, la science classique ne peut pas démontrer qu’il existe un Créateur, ni nier son existence. L’un des objectifs importants de l’essencenisme était donc de préparer des méthodes appropriées pour répondre ŕ la tâche qui lui était assignée. Bien sűr, nous parlons toujours d’outils de recherche systémique, et non d’appareils tels qu’un collisionneur de hadrons ou des radiotélescopes trčs avancés. Ci-dessous, je présente les méthodes de recherche de l’essencenisme utilisées pour analyser la possibilité de l’existence d’un état au-delŕ du temps et de l’espace et de Dieu comme Ętre Originel. Les voici:
1. Un «outil» obligatoire doit ętre l’utilisation de la pensée logique dans l’analyse de tous les phénomčnes, non seulement matériels, mais aussi transcendants. Il s’agit d’une liberté totale de penser, d’explorer et de tirer des conclusions de la nature de ce qui nous entoure. En pratique, cela signifie la libération de tous les dogmes, tant religieux que de vie. Les opinions existantes ne doivent pas ętre considérées comme incontestables.
2. Le processus de soutien de la pensée logique devrait ętre l’intuition et l’imagination. Ils sont particuličrement nécessaires dans la phase initiale du raisonnement lors de la création des hypothčses, des thčses et des trains de pensée du systčme.
3. Un outil intuitif important de l’essencenisme est la logique des pensées. Ils fonctionnent ŕ l'encontre du principe du «fil ŕ la balle». Dans l’essencenisme, cette séquence part de la «balle» – l’Ętre Originel. De Lui rayonnent les « fils » qui créent d’autres ętres. Les étapes ultérieures ont toujours lieu aprčs vérification de leur conformité avec les hypothčses initiales. De plus, l’étape suivante est créée sur la base de celle testée précédemment. C'est ainsi que l'on arrive ŕ la conclusion finale.
4. L'espace-temps par lui-męme, c'est-ŕ-dire par son existence, conduit ŕ la conclusion qu'il doit avoir un commencement et une cause. Au XXe sičcle a eu lieu l’une des plus grandes découvertes de l’histoire de l’humanité. Les scientifiques ont annoncé que l’univers a été créé ŕ un moment assez précis dans le temps et qu’il peut ętre décrit comme de l’espace-temps. Cela suggčre que quelque chose d’autre a dű exister avant sa création et que l’on pourrait appeler un état au-delŕ du temps et de l’espace. Le début spécifique de l’univers espace-temps est donc un outil permettant de démontrer indirectement la possibilité de l’existence de quelque chose avant ou au-delŕ de lui.
5. La compréhension des phénomčnes provenant d’un état au-delŕ du temps et de l’espace nécessite un observateur capable de les reconnaître. Cela ne peut ętre qu’un ętre humain. Son point de vue personnel est l’un des outils permettant d’étudier des phénomčnes qui ne sont pas soumis aux lois connues de la physique. Les témoignages de ces observateurs sont extręmement nombreux, et beaucoup d’entre eux se ressemblent. Certains d’entre eux ont été inclus dans cette analyse.
6. L’énergie, ou plutôt sa forme originelle appelée énergie primaire, est une quantité importante qui a été soudainement introduite dans l’espace-temps de l’univers émergent. Cela ne pouvait venir que d’un état au-delŕ du temps et de l’espace. Il convient d’expliquer ici que l’énergie elle-męme, sans aucun adjectif, est une quantité ou un état qui ne correspond pas tout ŕ fait aux lois de la physique que nous connaissons. Il s’agit d’énergie primordiale, non encore transformée en une autre forme. Nous ne savons pas exactement comment tout a commencé, mais nous sommes sűrs qu’en un instant, toute l’énergie de l’univers a été créée. Ce moment a été appelé le Big Bang. Ŕ partir de ce moment-lŕ, on ne peut plus convertir qu’une forme d’énergie en une autre. On ne peut rien y ajouter pour augmenter sa quantité dans l'univers, et on ne peut surtout pas le détruire, car cela nécessiterait de le déplacer hors de l'univers. Les scientifiques sont obligés de conclure qu'il existe depuis l'éternité, bien qu'ils ne puissent pas relier son existence ŕ la Cause Premičre, c'est-ŕ-dire ŕ l'Ętre Originel qui occupe tout l'état au-delŕ du temps et de l'espace. Les scientifiques ont finalement déterminé que tout est composé d’énergie, y compris nous. Par conséquent, l’existence de l’énergie primaire comme valeur initiale n’est pas seulement un instrument de recherche spécifique, mais aussi un argument en faveur de l’existence d’un état causal au-delŕ du temps et de l’espace.
7. L’outil, ou plutôt l’argument de recherche, est l’analyse d’un éventuel acte créatif accompli par l’Ętre Originel supposé. C’est ŕ Lui seul que nous pouvons attribuer la création d’une śuvre qui dépasse complčtement l’imagination humaine. Cette śuvre hypothétique de transformation de Son Énergie Primordiale en matičre est l’univers, dont le commencement présumé est le Big Bang. La conséquence de la détection d’un tel commencement du cosmos est la nécessité d’en rechercher la cause. Il est situé ŕ un point de singularité entre un état au-delŕ du temps et de l'espace et la sphčre espace-temps. De cette singularité, l’espace mesurable est apparu et le temps a commencé ŕ s’écouler. Le déroulement de cet événement apporte la preuve de la création de matičre et d'énergie ŕ partir d'énergie primaire provenant d'un « environnement » scientifiquement inconnaissable. Le commencement de l’univers est donc une porte d’entrée et en męme temps un outil permettant de détecter l’existence de quelque chose qui l’a précédé, c’est-ŕ-dire un état au-delŕ du temps et de l’espace.
8. Un outil peut également ętre l’argument logique selon lequel l’univers n’aurait pas pu naître ŕ partir de rien. Cet argument est également étayé par l’argument empirique selon lequel aucun cas de création ŕ partir de rien n’a encore été découvert. Le processus de création de l’univers a dű impliquer une transformation d’énergie d’une sphčre oů ni le temps ni l’espace n’existaient vers la sphčre de l’espace-temps. Ce processus devait se dérouler avec la participation simultanée de lois préexistantes qui ont conduit au résultat prévisible, c’est-ŕ-dire la création de l’univers. Ce fait est une preuve qui indique la possibilité de transformer quelque chose d’inconnaissable en un état connaissable ou quelque chose d’invisible en une forme visible. Jusqu’ŕ présent, nous continuons ŕ transformer la matičre en énergie ou une forme d’énergie en une autre. Pourtant, nous ne pouvons pas convertir l’énergie en matičre et nous prétendons toujours que cela dépasse nos capacités. Entre-temps, un fait similaire s’est produit dans le cas du Big Bang, et ŕ une échelle cosmique gigantesque. Cela n’a pas été fait par les humains, et cela n’aurait pas pu se produire tout seul, c’est-ŕ-dire que l’univers n’aurait pas pu se créer lui-męme. Quoi qu’il en soit, quelque chose a dű exister avant. Bien sűr, on peut prétendre qu’un miracle s’est produit et que l’univers est apparu ŕ partir de rien. Étant donné que les miracles ne peuvent pas ętre inclus dans les arguments scientifiques, on doit conclure que l’univers doit avoir une source efficace d’énergie et de lois. Il semble qu’il n’y ait qu’un seul « Quelqu’un » qui transforme l’énergie en matičre. D’oů la conclusion que l’Ętre Originel a tout créé ŕ partir de Lui-męme.
9. Un outil spécifique est le processus de retour dans le temps. En nous déplaçant dans le sens inverse des aiguilles d’une montre par rapport au flux du temps, nous créons une chaîne de cause ŕ effet ŕ partir de l’histoire de l’univers. Ŕ la fin, nous devrions émerger de l’espace-temps de l’univers et nous retrouver dans une sphčre au-delŕ du temps et de l’espace. Nous arrivons ainsi ŕ la cause premičre (ou Cause Premičre en majuscules), qui devrait ętre infinie, sans limites et éternelle, comme le royaume lui-męme au-delŕ du temps et de l’espace. Si la Cause Premičre se trouve dans une sphčre au-delŕ du temps, alors elle ne peut pas avoir « sa » cause suivante, car le temps et ses conséquences n’y fonctionnent pas.
10. L’univers démontre une cohérence précise des lois et des principes qui le régissent. Le principe anthropique parle aussi de cela, męme si mon systčme ne repose pas sur lui. Étant donné le Big Bang ou tout autre événement initial de ce type, et l’existence de lois qui l’ont guidé, il faut supposer que tout aurait dű provenir d’une source initiale existante dotée d’attributs intelligents. Ce phénomčne peut suggérer que la Cause Premičre recherchée possčde le plus haut niveau de connaissance basé sur son intelligence, sa volonté et ses émotions. Une ligne causale peut ętre construite ŕ partir d’une cause intelligente jusqu’ŕ l’émergence d’un état intelligent la reflétant sous la forme d’ętres intelligents. Il semble que le résultat inévitable des changements survenus au cours de milliards d’années, des formes les plus primitives aux plus complexes, ait été l’émergence d’ętres illustrant les attributs de la Cause Premičre. Ce phénomčne et la cohérence uniforme de toutes choses prouvent que nous n’avons affaire qu’ŕ une seule Source possible. Le point de départ doit donc ętre dérivé de cette Source. Cela devait également inclure tout ce qui existait avant la création de l’univers. Ceci conduit ŕ son tour ŕ la conclusion que l’Ętre Originel analysé ici est tout ce qui existait avant l’espace-temps de l’univers, et que c’est Lui qui a initié le temps et l’espace. Dans ce cas, le fait de la possibilité de l’existence d’une Source unique et intelligente de tout peut devenir un outil.
11. Un certain type d’outils sont les lois par défaut du monde spirituel. Nous pouvons comprendre leur existence lorsque nous nous trouvons parfois dans des situations extręmes. Nous les connaissons alors non seulement intuitivement, mais comme une réalité concrčte. Notre perception stimulée peut alors nous rendre conscients d’un état dans lequel ni le temps ni l’espace n’existent.
12. Les apparitions, les visions, les ręves ou des phénomčnes similaires peuvent ętre un signe certain de l’existence d’un état au-delŕ du temps et de l’espace. Męme si seulement un faible pourcentage de ces témoignages s’avčre vrai, ils montrent néanmoins que des phénomčnes qui échappent au champ de la science dominante doivent également ętre pris en compte. Il est particuličrement intéressant d’analyser les paroles et les actions de Jésus-Christ. Sa personnalité a eu une influence sur de nombreux domaines de la vie, y compris la science.